Il intégrera :
✅ Les données du graphique traduites en français,
✅ Une analyse par âge, sexe, éducation et usage d’Internet,
✅ Un ton professionnel, motivant et accessible,
✅ Une touche d’humour légère,
✅ Et un chapitre final DeepDive sur la pédagogie de l’IA.
Sommaire
Toggle🧠 IA : fascinante ou flippante ? Ce que le monde pense vraiment de l’intelligence artificielle en 2025
L’intelligence artificielle fait désormais partie de nos vies : elle rédige des mails, corrige nos fautes, recommande des films, traduit des langues, et parfois même… nous répond avant qu’on ait fini de poser la question.
Mais si certains applaudissent cette révolution, d’autres s’en méfient comme d’un élève trop brillant pour être honnête.
Une grande étude mondiale du Pew Research Center, menée dans 25 pays auprès de milliers d’adultes, révèle à quel point le monde reste divisé entre enthousiasme et inquiétude. Et les résultats sont aussi surprenants que révélateurs de nos rapports à la technologie.
🌍 Un monde partagé : entre espoir et crainte
Voici la traduction du graphique principal :
Pays | Plus inquiets qu’enthousiastes | Autant inquiets qu’enthousiastes | Plus enthousiastes qu’inquiets |
---|---|---|---|
🇺🇸 États-Unis | 50 % | 38 % | 10 % |
🇮🇹 Italie | 50 % | 37 % | 12 % |
🇦🇺 Australie | 49 % | 37 % | 13 % |
🇧🇷 Brésil | 48 % | 37 % | 10 % |
🇬🇷 Grèce | 47 % | 39 % | 10 % |
🇨🇦 Canada | 45 % | 45 % | 9 % |
🇬🇧 Royaume-Uni | 39 % | 46 % | 13 % |
🇦🇷 Argentine | 39 % | 41 % | 13 % |
🇪🇸 Espagne | 39 % | 38 % | 19 % |
🇵🇱 Pologne | 37 % | 42 % | 15 % |
🇲🇽 Mexique | 35 % | 47 % | 13 % |
🇫🇷 France | 35 % | 47 % | 15 % |
🇳🇱 Pays-Bas | 34 % | 48 % | 16 % |
🇭🇺 Hongrie | 34 % | 49 % | 14 % |
🇮🇩 Indonésie | 32 % | 49 % | 14 % |
🇰🇪 Kenya | 31 % | 43 % | 19 % |
🇸🇪 Suède | 31 % | 45 % | 22 % |
🇿🇦 Afrique du Sud | 30 % | 42 % | 18 % |
🇩🇪 Allemagne | 29 % | 53 % | 17 % |
🇯🇵 Japon | 26 % | 56 % | 16 % |
🇹🇷 Turquie | 26 % | 35 % | 19 % |
🇳🇬 Nigeria | 24 % | 36 % | 29 % |
🇮🇱 Israël | 24 % | 47 % | 29 % |
🇮🇳 Inde | 24 % | 54 % | 16 % |
🇰🇷 Corée du Sud | 16 % | 61 % | 22 % |
Moyenne mondiale (25 pays) | 34 % | 42 % | 16 % |
🤖 L’IA divise plus qu’elle ne fédère
En moyenne, un tiers (34 %) des adultes interrogés se déclarent plus inquiets qu’enthousiastes face à l’essor de l’IA dans la vie quotidienne.
Seuls 16 % se disent franchement enthousiastes, tandis que 42 % oscillent entre les deux — cette fameuse zone grise où la curiosité et la peur cohabitent.
Aucun pays ne montre une majorité de citoyens plus excités que préoccupés par l’intelligence artificielle.
Même les pays les plus technologiquement avancés — comme la Corée du Sud, le Japon ou Israël — ne dépassent pas 30 % d’enthousiasme pur.
👵 Les seniors : plus méfiants, moins connectés
La fracture générationnelle est nette.
Les plus de 50 ans se montrent bien plus inquiets que les jeunes adultes.
👉 En Grèce, 59 % des seniors se disent préoccupés, contre 18 % des 18-34 ans.
Aux États-Unis, l’écart est moins prononcé mais bien présent.
Pourquoi ?
Parce que les seniors ont souvent connu un monde pré-numérique. Ils voient l’IA comme une rupture brutale avec leurs repères : l’humain, le métier manuel, le lien social.
Là où les jeunes perçoivent une opportunité, les aînés perçoivent une menace.
Et soyons honnêtes : quand on voit des vidéos où ChatGPT crée un site web, rédige un livre et compose une chanson pendant qu’on cherche encore ses lunettes, on peut comprendre l’angoisse.
👩 Les femmes, plus prudentes face à l’automatisation
Dans plusieurs pays, les femmes sont significativement plus préoccupées que les hommes.
Au Royaume-Uni, par exemple, 47 % des femmes se disent plus inquiètes, contre 32 % des hommes.
Cette prudence pourrait s’expliquer par :
- une méfiance envers la technologie historiquement développée par des milieux masculins,
- la peur de la substitution dans les métiers de service ou d’administration,
- et une société numérique encore inégalitaire dans la représentation et les opportunités.
💡 À noter : les femmes sont aussi celles qui demandent plus de transparence et d’éthique dans les usages de l’IA — un signe de vigilance, pas de rejet.
🎓 L’éducation : la clé de la confiance
Les données montrent une tendance claire :
dans environ la moitié des pays, les personnes peu instruites sont plus inquiètes que celles ayant un niveau d’éducation plus élevé.
Ce n’est pas une question d’intelligence, mais d’exposition.
Plus on comprend comment l’IA fonctionne, moins on la diabolise.
Moins on la connaît, plus elle semble mystérieuse — et donc potentiellement dangereuse.
👉 L’étude souligne aussi que les personnes moins éduquées répondent moins souvent aux sondages sur ce sujet, preuve d’une distance culturelle face à la technologie.
🌐 L’usage d’Internet : un facteur déterminant
L’un des enseignements les plus parlants :
plus on utilise Internet, moins on a peur de l’IA.
En Grèce, 52 % des internautes occasionnels se disent inquiets, contre 20 % de ceux connectés “presque tout le temps”.
Même constat ailleurs : les “digital natives” sont plus à l’aise, tandis que les utilisateurs occasionnels se méfient.
Pourquoi ?
Parce que la familiarité crée la confiance.
L’IA n’est plus perçue comme une entité abstraite mais comme un outil concret — le moteur de Google, la recommandation Netflix, ou la correction automatique de Word.
🔎 Sensibilisation : savoir, c’est rassurer
La connaissance est un facteur clé d’enthousiasme.
En Corée du Sud, 39 % des personnes qui ont beaucoup entendu parler de l’IA se disent enthousiastes, contre 19 % parmi celles qui en ont peu entendu parler.
Autrement dit, l’information apaise la peur.
L’éducation numérique, la vulgarisation et la pédagogie sont des leviers puissants pour réduire l’anxiété technologique.
📊 Zoom sur les pays les plus enthousiastes
Quelques exceptions brillent dans le tableau :
- 🇳🇬 Nigeria : 29 % des répondants sont plus enthousiastes qu’inquiets.
- 🇮🇱 Israël : 29 % également.
- 🇸🇪 Suède et 🇰🇷 Corée du Sud : 22 %.
Ces nations partagent un point commun :
un écosystème technologique dynamique et une population très connectée.
Là où l’IA est perçue comme un outil quotidien, la peur laisse place à la curiosité et à l’optimisme.
🧭 Ce que cela dit du futur
Cette étude prouve que l’acceptation de l’IA ne dépend pas seulement de la technologie, mais du niveau de confiance sociétale.
L’inquiétude n’est pas une fatalité : elle est le signe que les citoyens veulent comprendre avant d’adopter.
Et c’est plutôt sain.
Mieux vaut un monde qui s’interroge qu’un monde qui subit sans réfléchir.
Les gouvernements, les entreprises et les éducateurs ont donc une mission claire :
➡️ démystifier l’IA,
➡️ montrer ses bénéfices concrets,
➡️ impliquer les citoyens dans sa régulation.
💡 “Plus on connaît l’IA, moins elle fait peur”
Cette phrase pourrait résumer l’ensemble de l’étude.
L’IA ne crée pas la peur — c’est le flou qui l’entoure qui la nourrit.
En réalité, cette peur révèle notre désir de rester humain, de garder le contrôle sur nos choix, nos emplois et nos interactions.
Et c’est exactement ce que devrait faire une IA éthique : augmenter l’humain sans le remplacer.
🚀 Et maintenant ?
L’intelligence artificielle n’est ni une menace, ni un miracle.
C’est un miroir de notre société, de nos contradictions, de nos rêves et de nos craintes.
Si certains y voient une apocalypse numérique, d’autres y voient l’opportunité de repenser la créativité, la productivité, l’éducation.
Le monde n’est donc pas divisé entre “pro” et “anti-IA” :
il est en phase d’apprivoisement collectif.
Source : https://www.pewresearch.org/global/2025/10/15/concern-and-excitement-about-ai
💬 En conclusion : apprendre, tester, comprendre
L’étude du Pew Research Center nous rappelle une vérité simple :
👉 la peur de l’IA diminue à mesure qu’on la comprend.
👉 l’enthousiasme croît à mesure qu’on la pratique.
Autrement dit, la pédagogie est le meilleur antidote à la peur technologique.
Et c’est là que des acteurs comme DeepDive interviennent :
en formant, en vulgarisant, en accompagnant les entreprises, les écoles et les indépendants dans leur intégration responsable de l’IA.
Parce que oui, l’IA peut faire peur…
Mais bien utilisée, elle peut surtout libérer du temps, de la créativité et de l’énergie humaine.
💭 “L’intelligence artificielle ne remplacera jamais l’intelligence émotionnelle.
Mais elle peut lui laisser plus de place.”
— André Gentit, DeepDive
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